Aperçu du pays de ces ancêtres (vs Elina)

- Ici, tu es en sécurité : il y a des sorts très puissants qui protègen le manoir. En plus, c'est une demeure très très très seconaire du président, on bénéficie donc de sa protection!

Et elle en était très contente : elle avait la paix! Enfin... plus pour longtemps : quelqu'un toqua à la porte...

Grondant, il se leva brusquement, comme si on lui avait brulé le dos. Se retournant rapidement, il huma.

- J'ai une idée.

Une petite boule de poils ailée apparu en lieu et place de Nikos. Elle voleta en direction d'un perchoir.

* Je ne parlerais qu'avec toi. S'il y a un problème, l'intrus sera écrasé par 400 kg de muscles félins. Maintenant à toi d'agir comme tu le sens *

- Ok Nikos!

Elle se dirigea vers la porte, et suspicieuse l'entrouvrit.

- Oh! Bonjour Monsieur le président! Je ne vous attendais pas!
- Non, mais on vous a vus arrivée, et des humanoïdes ont été retrouvé morts près du chemin...

* Zut, on aurait du les faire disparaître...*

Un grondement mental parvint jusqu'au cerveau d'Elina. Nikos n'était pas content de la visite.

* Merde, J'aurais du les bouffer, mon ventre de tigre aurais largement suffi à tous les contenir. J'espère toutefois qu'il ne va pas réussir à sentir mon odeur. *

Il agita nerveusement les ailes avant de se repositionner, immobile dans un creux d'une poutre.

* Tu va faire quoi de ce type, Elina. Le tuer ? ou me le laisser en guise de repas ? *

*Evitons..*

- Euhhh...J'allais prendre ma douche! Alors si vous pouviez partir...

Elle montra ses cros en lui faisait signe de partir et ajouta :

- Je ne sais rien de ces humanoïdes... Je ne suis pas idiote, si c'était moi, je les aurais fait disparaître!

Elle adressa un petit signe de la main au président et lui claqua la porte au nez. Elle s'adossa contre la porte en soupirant...

Me laissant tomber, je reprenais forme métisse.

- J'ai cru qu'il ne partirait jamais. Tu aurais put me le laisser, son fumet était assez attirant pour un vampyr.

Soupirant, je demandais curieux.

- Tu va vraiment aller prendre une douche. Auquel cas, je vais devoir te laisser un peu d'intimité.

Je ris :

- Nan, ne t'en fait pas! C'était juste pour le faire partir! mais si tu penses que j'en ai besoin, fait le moi savoir! Sinon, ou en étions-nous avons l'irruption de MONSIEURS le président.

Je souris : j'était vraiment injuste. Il m'avait recueilli et sauver la vie, j'aurais pu être un peu plus charitable! Mais je pourrais toujours faire mes excuses plsu tard...